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Paris, France
« L’art est le plus court chemin d’un homme à un autre » (Roger Garaudy, Maurice Béjart, Danser sa vie) Semaine du 22 au 28 juin 2008, Paris

mardi 25 mars 2008

A propos des intervenants: "Des images à la page" Alice AHOND

Des images à la page

Plasticienne et cinéaste, je viendrai avec ma bande démo qui regroupe mes films et mes images fixes.
1/ Comment vous définiriez vous?
J'aime bien la dénomination "d'artiste passeuse", pratiquant un art que je m'efforce de transmettre, par une technique, un savoir-faire et une expérience à travers mes interventions et ateliers auprès du jeune public.
2/ Que souhaiteriez vous transmettre?
J'essaierai en présentant mes images fixes (livres pour enfants en tant qu'auteur-illustratrice, affiches, commandes diverses) et mes films (courts métrages, commandes) de faire partager un univers qui est le mien, de transmettre un regard et un savoir-faire spécifique. J'aimerais bien dialoguer à partir de deux propositions d'ateliers, en lien avec ma pratique artistique: *atelier "du fixé sous transparent" *atelier" initation au cinéma d'animation" (pixillation, sable, papier découpé)
3/ Qu'attendez vous de votre intervention?
J'attends avant tout un échange avec les personnes qui seront présentes, une discussion autour de mon univers,et la possibilité de rencontrer des personnes en phase avec ce travail.
4/ Et après?
Dans la continuité de cet échange, c'est la possibilité d'envisager des ateliers pour enfants ou adultes à partir de mon travail.

5/ Votre pratique relève-t-elle de l'art ou de l'éducation?
Mon intervention relève des deux puisqu'en jouant le rôle de "passeuse", je propose un contact, un dialogue, une transmission en deux mots autour de ma pratique artistique et mon expérience professionnelle.

A propos des intervenants: "Illumination autistes" H. Bouraoui

ATELIER ILLUMINATIONS AUTISTES : PENSÉES-ÉCLAIRS

Professeur Hédi Bouraoui, Université York, Toronto, Canada

1. Comment vous définiriez-vous : Artiste ? Éducateur ? etc. Pourquoi ?

a) L’artiste, ou le poète, crée des œuvres d’art l’un avec des couleurs, l’autre avec des mots, en toute liberté. Son champ de performance est son horizon illimité de la création. Le conscient et l’inconscient sont à l’œuvre dans le déploiement de la création. L’artiste n’en a cure. L’essentiel, c’est de créer une œuvre originale dont le sens profond échappe parfois au créateur lui-même.

Toute création artistique ou poétique projette un sens, ou plus prosaïquement, un message.

Pour moi, la poésie est fonctionnelle. Elle peut rectifier le tir, corriger les injustices et les avatars de l’histoire. La poésie peut alors aider à nous faire changer de vision du monde, nous mettre sur le chemin de l’équité et de la dignité humaine. Et ceci sans démagogie ni pédagogie ! Elle n’a pas pour but de donner des leçons. C’est plutôt une pourvoyeuse de lumière dans les zones ténébreuses de la vie. Et ceci en toute modestie et en toute humilité.

b) L’éducateur : La fonction de l’éducateur est de tenter d’expliciter l’intention ou le message de la création, ou, comme l’on dit, faire acte de critique. Il ne s’agit pas de louer ou de dénigrer la création, mais plutôt de décortiquer ses ressorts intérieurs pour révéler ses divers sens. L’éducateur ne cherche pas à capter l’intention primaire de l’artiste ou du poète, mais plutôt d’analyser objectivement la création dans toutes ses manifestations significatives.

Il existe donc un rapport très étroit entre créateur et éducateur. L’un ne peut fonctionner sans l’autre, car à quoi sert une création si le lecteur-spectateur-éducateur n’en parle pas et ne le fasse pas connaître ?

Cette dialectique esquissée brièvement ici sera poursuivie par les apports suscités par le groupe lors des ateliers.

2. Que souhaitez-vous « transmettre » ou « faire passer », etc. à l’occasion de cet atelier ? Et comment pensez-vous pouvoir vous y prendre ?

L’atelier tournera autour ne mon livre Illuminations autistes : Pensées-Éclairs. Ce sont une vingtaine de poèmes/ sketches inspirés par un enfant autiste que je lirai à haute voix avec la même intonation de l’autiste.

Je parlerai de la genèse de l’œuvre, et plus particulièrement de comment je suis passé de la fréquentation de l’enfant autiste à la verbalisation, autrement dit, à l’écriture de ces poèmes.

3. a) Quelles modalités de participation vous paraissent-t-elles essentielles (ou bien : quelles modalités de participation attendez-vous) de la part des personnes qui viendront assister à votre atelier ?

Ces textes-poèmes-sketches présentent chacun une vision du monde qui est en définitif assez positive. L’enfant handicapé se livre à cœur ouvert et semble surmonter ses obstacles.

Dans l’atelier je m’attends à ce que les participants témoignent de tous nos handicaps, et de toutes nos forces. Donc, une participation à tous les niveaux du sens de la vie.

b) J’engagerai le groupe à discuter du rapport entre l’art – ici les œuvres d’art visuelles d’Adam Nidzgorski – et a la poésie. Pour moi, il ne s’agit pas d’illustrations, mais de deux arts qui dialoguent sans frontières ni entraves.

4. Qu’attendez-vous pour vous-même de cette expérience ?

J’attends un contact participatoire qui pourrait peut-être changer la vision du monde des uns ou des autres.

5. Selon vous, ce que vous proposez dans cet atelier relève-t-il : De l’Art ? De l’Éducation ? ou, peut-être, des deux ? Et en quoi, à votre avis ?

Cet atelier combine art et éducation. Aucun séparation, mais plutôt un va-et-vient d’un domaine à l’autre, ce qui permet le partage et les échanges.

Hédi Bouraoui

A propos des intervenants: C. Max Martineau

1. Vous définiriez vous comme éducatrice? artiste?

Dans ma vie personnelle je fais de la peinture et je fais « l’actrice »…

Dans ma vie personnelle je suis éducatrice. J’ »entre » en relation avec les individus dont j’ai la guidance éducative, par des ateliers de médiation, la danse le théâtre et la peinture. Ce sont mes « alibis » à la rencontre mais des alibis avec lesquels je suis à l’aise pour transmettre recevoir et partager.

2. Que souhaitez-vous « transmettre » ou « faire passer », etc. à l’occasion de cet atelier ? Et comment pensez-vous pouvoir vous y prendre ?

Par la rencontre et le plaisir du geste nous essaierons de créer :

    1 espace coloré à la fois individuel et collectif.

    1 espace temps dans lequel nous pourrions découvrir ; faire ensemble reconnaître nos propres ressources et nos limites

J’imagine pour cette rencontre, capter l’imaginaire de chacun, éveiller de la générosité, encourager les plus timides, rythmer les impulsifs, préciser le geste, développer les perceptions et les propositions de chacun.

3. Quelles modalités de participation vous paraissent-t-elles essentielles (ou bien : quelles modalités de participation attendez-vous) de la part des personnes qui viendront assister à votre atelier ?

Peindre permet de prendre conscience de soi dans l’immédiateté liée aux aléas de la vie.

Peindre c’est aussi faire briller ce que chacun dissimule au fond de soi, ce qui nous rapproche ce qui nous différencie.

Alors j’attends de la participation à cette rencontre de l’écoute, du respect, de la curiosité,… de la générosité et du plaisir.

4. Qu’attendez-vous pour vous-même de cette expérience ?

L’atelier de peinture que j’anime à l’IME de Vitry continue son aventure : Peindre hors les murs… Se risquer à l’extérieur de l’institution…. Mettre un peu de « folie » de déséquilibre de pertinence, de surprise en pariant sur les qualités et les empêchements de chacun.

5. Selon vous, ce que vous proposez dans cet atelier relève-t-il : De l’Art ? De l’Éducation ? ou, peut-être, des deux ? Et en quoi, à votre avis ?

Il propose des deux mais surtout de la vie, du mouvement, des refus, des peurs, des joies enfin un véritable langage spécifique à tous.

A propos des conférenciers: A. Gillis

Médecin psychiatre depuis 1975, après six années passées dans une équipe d’hôpital de jour, Alain Gillis prend la direction médicale d’un Institut Medico Educatif. L’IME Montaigne, à Chelles (77) sera le terrain qui va lui permettre d’expérimenter des approches thérapeutiques originales, concernant particulièrement les enfants présentant des troubles autistiques.

Depuis les thérapies corporelles jusqu’à l’approche Esthétique, il a développé une analyse et atteint une certaine compréhension de l’économie particulière de ces troubles.

Cette expérience professionnelle s’est enrichie d’une épreuve : celle de la mise en forme écrite, dans des ouvrages élaborés au contact immédiat de la clinique.

D’un point de vue d’abord accordé aux grands axes de la psychanalyse, Alain Gillis a évolué vers un mode d’appréhension phénoménologique : La recherche, le souci d’une compréhension, au cas par cas, des mondes constitués par chacun des sujets.

Quelques lignes sur son intervention du 26 Juin.

Je tenterai de montrer, à partir d’un commentaire, figure après figure, des œuvres de deux enfants, deux jumeaux présentant des troubles de nature autistique, comment on peut atteindre une connaissance de l’organisation particulière de l’existence, du mode d’être au monde, de chacun de ces deux enfants. Comment l’exercice de la subjectivité peut s’avérer donatrice de sens, pour autant qu’on s’emploie à l’estimation critique, à la description « raffinée » de ses données immédiates.

A propos des intervenants: Patric Jonas

1 - Comment vous définiriez-vous : Artiste ? Educateur ? etc. Pourquoi ?
- Depuis deux ans, je suis heureux, je ne suis plus écartelé entre mon identité de social / éducateur et mon univers d'artiste et de plasticien. Je suis enfin relié....

oui, mais avec quelle identité ?

J'ai la richesse d'avoir vraiment deux cultures vivantes - travailleur social depuis près de 30 ans (un D.E.F.A.) et une pratique artistique depuis ....35 ans cette année.
J'ai toujours essayé - plus ou moins avec succès - de dialoguer - faire dialoguer ces deux cultures.
J'ai souvent été déçu de moi-même et/ou des résultats !

- Pourquoi ? car de ma culture / de ma posture éducative / je travaillai / interrogeai en quoi les matériaux / disciplines de l'art allaient pouvoir ceci - pouvoir cela.....

- Pourquoi ? car dans ma pratique / posture d'artiste plasticien (même avec la richesse de plusieurs disciplines ) je souhaitai apporter la légèreté, participer à un changement de regard….
... et les résultats n'étaient pas à la hauteur de ce que je voyais du travail( des autres artistes ), de mes lectures, de mes études (nombreuses formations en + de 25 années)...
et de mon projet... vivre de mes arts (céramique - peinture - théâtre - relaxation ) tout en restant dans la relation d'aide aux personnes en difficulté (quelques soit la/les problématiques).

- Alors moi aussi, je me suis autorisé à emprunter des mots complexes aux contenus assez flous et larges pour pouvoir y poser mon projet de vie / dérouler mon histoire …

… mon histoire avec une identité qui est enfin à ma mesure à

- créatif social / social créatif

- Au passage j'ai quitté le confort du travailleur social et des conventions collectives (je suis travailleur indépendant)

- Comme si je ne pouvais pas m’épanouir / me réaliser pleinement à partir des institutions du sanitaire et social (ou du socio culturel !)

- Au passage j'ai gagné la liberté de penser (de créer - de développer,… ) …en acceptant de diminuer mes revenus par deux !

- Je suis un médiateur culturel - un animateur santé - un artiste plasticien - un créateur d'espace du possible, mais surtout... je suis totalement relié... et heureux !

- Je ne ma pose plus du tout la question - la question de cette définition ! artiste ? éducateur ?

- Je suis un social créatif / un créatif social - et depuis que je ne pose plus la question - puisqu’elle ne se pose plus maintenant, je suis satisfait (voir suivant les jours un peu fier) de mon travail …et des évaluations réalisées sur les différents ateliers / terrains ou j’interviens.

- 2 - Que souhaitez-vous « transmettre » ou « faire passer », etc. à l’occasion de cet atelier ? Et comment pensez-vous pouvoir vous y prendre ?
- Faire découvrir, la dynamique d’un atelier d'improvisation théâtrale et de théâtre forum,

- Comment cette dynamique est en capacité (en tant qu'outil / médiateur) de créer un espace de dialogue pour soi et pour les autres.

- Permettre au public assistant à l'atelier de devenir dans l'espace temps de l'atelier (lui aussi !) l'acteur principal de son projet de vie (projets de vies)

- Présenter et soutenir que les objectifs ci après sont réalistes - réalisables - évaluables - en travaillant avec l'outil théâtre d'improvisation / théâtre forum

  • Oser expérimenter à travers une approche artistique et corporelle , des réponses, des stratégies pour mieux comprendre, articuler, développer ses ressources vers un mieux-être.

- Se faire plaisir dans l’ici et maintenant

- Etre à l’écoute de ses émotions, et créer avec

- Se sentir exister à travers le regard d’autrui et progresser vers une meilleure image de soi

- S’étonner de ses capacités d’expression artistique individuelle et dans un groupe

  • Mettre les participants en position d’acteurs de leur propre projet de vie

- Apprendre à mieux gérer son stress et ses émotions

- Lui donner envie de continuer à pratiquer cette discipline artistique ... d’abord pour lui même...

… et pourquoi pas (après une formation adaptée) dans un champ professionnel.


- 3 - Quelles modalités de participation vous paraissent-t-elles essentielles (ou bien : quelles modalités de participation attendez-vous) de la part des personnes qui viendront assister à votre atelier ?
- La dynamique est simple, l'animateur doit pouvoir compter sur la participation active - très active / réactive - des participants à l’atelier.

- La pédagogie est plus qu'inter active / participative --> elle est totalement centrée sur l'action en cours --> avec le public qui est à la fois (en alternance ) - public et acteur - en réflexion et en action, etc…

- L'atelier est une alternance de court exposés sur les enjeux de cette approche et de petits travaux

pratiques (saynètes) pour expérimenter – valider – ancrer par la pratique (dans une dynamique du corps / esprit en action / cognition ) les contenus des exposés.

- 4 - Qu’attendez-vous pour vous-même de cette expérience ?

- Interactivité +++

- Dialogues intervenants ou participants ateliers

- Continuer d’interroger (voir valider avec la complicité d’un public de pairs (au sens large) la pertinence de certains de mes objectifs pédagogiques - thérapeutiques

5 - Selon vous, ce que vous proposez dans cet atelier relève-t-il : De l’Art ? De l’Education ? Ou, peut-être, des deux ? Et en quoi, à votre avis ?

- de l’art à oui totalement

- de l’éducatif à oui totalement

mais aussi

- du développement de soi à oui bien sûr

- du soin (au sens large) à oui le plus souvent

- du thérapeutique à oui encore une fois !

- Il me semble que tout cela est possible (mais pas forcement toujours identifiable…) dans la mise en

œuvre de mes ateliers car …….tout au long de ceux-ci, j’essaye que chaque participant puisse trouver un (meilleur) dialogue…

  • avec lui - même
  • avec les autres
  • avec le monde

  • et être (rester - devenir,… ) un acteur - l’acteur principal - de son projet de vie.
  • chacun vient (dans l’atelier) faire son marché - on ne sait pas à l’avance ni le menu ni les recettes, on y vient avec un espoir - on y revient pour changer son regard.

… et çà marche ! même si parfois je ne sais pas toujours pourquoi ! mais j’ai accepté depuis déjà pas mal de temps… de renoncer à tout comprendre ! et cette position, au fait, est-elle une position venant de l’art … ou de l’éducation ?

A propos des intervenants: Le rendez vous des poètes, Ecole expérimentale de Bonneuil

Le Rendez vous des Poètes, Ecole expérimentale de Bonneuil

1. Comment vous définiriez vous? Artiste? Educateur?

Artiste ... peut-être ...
Educateur ... peut-être ...
Passeurs d'espoir, sûrement.

2. Que souhaiteriez vous transmettre?
Les effets de vérité reccueillis au sein de l'atelier, emmergeant de notre approche poétique, et constitutifs du Sujet.
Ceci, en décrivant simplement la vie de l'atelier.

3. Modalités de participation?

L'attente d'une écoute
Un certain questionnement de l'assistance sur la question du lien entre poésie et psychose
Ouvert à tous

4. Qu'attendez vous de cette expérience?
Un partage d'expériences, de l'inattendu, de nouvelles questions ...

5. Que proposez vous dans cet atelier?

De l'art ... sans aucun doute. De l'éducation, aussi ...
Mais surtout une ouverture vers des possibles ... un chemin vers une écriture ... la naissance d'une subjectivité ...

A propos des intervenants: Jean Yves BRAS

Comment l’entendez-vous ? Ou l’art d’écouter, jeudi 26 juin 2008 14 h - 17 h

Cet atelier vise à « dresser les oreilles » c'est-à-dire à réduire la perte d’informations entre le composé, le joué et l’entendu. Passer d’une écoute passive à une écoute active pour mieux comprendre la musique. Quels sont les outils du musicien pour communiquer avec son écouteur ? Quels sont les outils de l’écouteur pour réceptionner la musique ? Quels types d’écoute pratiquons-nous ?

Au cours de cet atelier, c’est le moins que l’on puisse faire, on écoutera et on s’écoutera. On écoutera des musiques très diverses (mais très ciblées sur notre question) et on échangera nos perceptions. Le langage est musique et le dialogue polyphonie. Serons-nous en harmonie ? Pas nécessairement car s’il ne s’agit pas tant d’une écoute sensible que d’une écoute sensorielle visant à exercer notre sens auditif à mieux recevoir, analyser et identifier la matière musicale. Nous tenterons de formaliser notre entendement.
Éduquer. Les conservatoires forment des compositeurs, des instrumentistes mais assez peu des écouteurs. Ce qu’on appelle le « commentaire d’écoute » est une discipline relativement récente qui s’inscrit (enfin) dans la validation de diplômes professionnels (CAPES, DE, CA). Mais bien réduite est la formation de l’amateur au collège, au lycée, à l’université. L’adulte s’appuie souvent sur un bagage musical si limité qu’il peine à analyser et à verbaliser son écoute. Sans faire appel aux notions du terrible solfège, on tentera de trouver les mots pour parler des sons.
Il y a cinquante ans que j’écoute de la musique, beaucoup de musiques, pas toutes les musiques. Mon expérience peut-elle profiter aux autres ? Cet atelier répondra. Je ne suis pas un artiste, pas même un éducateur sauf qu’il me faudra prouver qu’écouter est un art et que je m’emploierai à en livrer quelques secrets. Un éveilleur peut-être…tout ouïe sûrement.
A bon entendeur, salut !

Jean-Yves Bras

Carrière à Radio France comme bibliothécaire de l’Orchestre National de France puis directeur de la Documentation musicale. Critique à la revue Diapason, membre de l’académie Charles Cros, j’ai été responsable artistique au festival du Marais à Paris puis du Festival Chopin à Bagatelle. J’ai écrit deux ouvrages : Les Courants musicaux du XXe siècle (éditions Papillon, 2003-2006) et Carlo Maria Giulini (Edition Bleu Nuit, 2006). Je prépare actuellement un ouvrage sur l’Art d’écouter (Edition Bleu Nuit, 2009)

La Comission Communication